mardi 24 février 2009

N'oublie pas que je t'aime


Il court, il court le furet !
De blog en blog.
Bien le bonjour !
Un p'tit éclat ?
De rire
De frime
De fureur et de bruit silencieux.
De silence musical
Un p'tit éclair
Une pépite
Pour la route.
Si tu ne m'aimes pas je t'aime
Et si je t'aime...
Parlons peu mais parlons bien
Aux innocents les mains pleines
L'as-tu vu mon p'tit lou ?
Tant va la barque à l'eau
Qu'à la fin elle se casse
A Ciao bonsoir,
Vous reprendrez bien un vers
Jamais deux sans trois
Sans trois ni loirs
Vous délirez mon cher Chouette there
Stanley rubrique & Cie
Si la messe était dite
Qui s'intéresserait au film
C'était un jour ordinaire, d'ordinaires aventures inutiles mais indispensables.

Photo Où est-il l'écureuil ? Clemt

4 commentaires:

Anonyme a dit…

Et l'on voudrait, avec ça, passer sous silence la déforestation ?

Anonyme a dit…

Moi sur les blogs où je vais y a des pépites et des éclats de rire, jamais de messe ou de frime... on doit pas fréquenter les mêmes ;-)

Anonyme a dit…

"Nos paroles sont lentes à nous parvenir, comme si elles contenaient, séparées, une sève suffisante pou rester closes tout un hiver; ou mieux,comme si, à chaque extrémité de la silencieuse distance, se mettant en joue, il leur était interdit de s'élancer et de se joindre. Notre voix court de l'un à l'autre; mais chaque avenue, chaque treille, chaque fourré, la tire à lui, la retient, l'interroge. Tout est prétexte à la ralentir.
Souvent je ne parle que pour toi afin que la terre m'oublie.

Anonyme a dit…

J'ai oublié, la citation est extraite de Lettera amorosa. René Char