vendredi 20 février 2009

Bon appétit

L'image “http://www.vox-populi.net/IMG/jpg/cannibale.jpg” ne peut être affichée car elle contient des erreurs.
Une fois n'est pas coutume, un peu d'humour raciste donc stupide, il faut oser avouer ses faiblesses et cette blague est une de mes favorites. Un ami me l'a raconté il y a longtemps, je ne l'ai pas oubliée ce qui est exceptionnel, je vous la livre en l'actualisant un peu.
Trois explorateurs se font alpaguer par un groupe d'anthropophages (en ces contrées guyanneuse ou autre, vous voyez ce que je veux dire). Ils appartiennent à un groupe de recherche internationale. Les cannibales font venir leur interprète qui tient aux trois otages à peu près ce langage:
"Très chers mets de choix, nous allons vous passer dignement à la casserole, après vous avoir dépecés avec précaution car nous ne gâchons rien de nos prises, nous mangeons votre chair dont vos tripes (selon une délicieuse recette), nous utilisons vos cheveux pour recoudre nos vêtements, vos os pour jouer pendant nos longues veillées et votre peau pour nos canoës. Une seule façon de la sauver votre peau, nous demander comme dernière volonté quelque chose que nous ne pourrions vous fournir."
L'Américain demande un triple hamburger arrosé de Southern Comfort, son sort est rapidement réglé.
Le Français influencé par les derniers propos qu'il a entendus avant de prendre l'avion demande une Rollllex qu'il obtient dans la minute qui suit et qu'il n'emporte pas dans son court bouillon, ça lui apprendra à écouter les publicitaires gâteux.
Le Belge réclame une fourchette. Surprise des bons sauvages qui trouvent que c'est trop facile et le pousse à plus d'exigence. Cédant à son insistance, ils finissent par lui fournir cet objet dont eux-mêmes ne se servent que pour vérifier la cuisson. Le Belge s'en empare et se porte de violents coups à la poitrine et aux bras en hurlant : "Voilà ce que j'en fais de votre canoë"
Ah! Vous aussi la connaissiez ? Je l'échange contre une nouvelle.

Illustration José Acedo

http://www.vox-populi.net/article.php3?id_article=119

4 commentaires:

Manu Causse a dit…

Je ne sais pas si elle est nouvelle...




Le type fait de l'autostop depuis deux heures sur une départementale, sans rien voir passer.
Il s'ennuie, oui.

Il entend un moteur, au loin.

C'est

une

voit... une Mercédès ? Ici ? Wouw.

Et elle s'arrête !

Le type baisse la vitre électrique - cheveux épais, permanente, RAy-Ban, Rolex, bluetooth à l'oreille :

- Tu veux que je t'emmène quelque part ?
- Je veux bien, parce que...
- Mais dis, toi, aux dernières élections, t'as voté libéral ou t'as voté à gauche ?
- Euh... plutôt à gauche, parce que...
- Ben marche, hé, connard !

Et la Mercedes démarre dans un crissement de pneu.

L'autostoppeur se dit que les gens sont cons, tout de même. Et il se remet à attendre.

Il fait presque nuit quand un deuxième moteur se fait entendre - un gros truc ronronnant -merde, une Jag ! Pas l'ombre d'une chance...

Mais si, elle s'arrête - le conducteur se penche, et lance :
- Tu vas où, mon p'tit gars ?
- A...
Mais l'autre le coupe : - Et au fait, tu votes quoi, toi ?

L'autostoppeur regarde mieux le conducteur : cheveux argentés, costume, chemise à fines rayures... Merde. Ca doit être un gag. Ca recommence. Alors, mentir ?

L'autostoppeur est un garçon de parole. Il lève la tête, et lance : "Moi, je suis de gauche"

Le conducteur secoue la tête :
- Alors tu peux marcher encore un peu, mon garçon...

Et la Jaguar démarre dans un souffle tranquille.


Trois heures plus tard. Il fait nuit. Et froid. D'ailleurs, il commence à pleuvoir.

L'autostoppeur n'en peut plus de ressasser les deux rencontres de l'après-midi ; aussi, quand il entend une nouvelle voiture qui approche - il a assez d'oreille pour reconnaître un V12 - il se sent prêt.

La voiture est une ¨Porsche, le conducteur... une conductrice. Blonde, maquillage impeccable, jupe courte en cuir et chemisier grège. Sa voix est chaude et rauque quand elle lance :
- Je peux vous amener où ?
L'autostoppeur nomme sa destination, et ajoute dans le même souffle :
- Je vote libéral, vous savez.

La jeune femme lui sourit :
- Alors, vous pouvez monter...

Il ouvre la portière. Un parfum luxueux et sensuel l'accueille. La Porsche démarre, conduite d'une main experte, et s'enfonce dans la nuit.

Après plusieurs minutes de silence, l'autostoppeur prend la parole :



suite sur

http://manucausse.blogspot.com/2009/02/608-manu-causse-contre-le-liberalisme.html

Vise les italiques, ca ira plus vite.

Anonyme a dit…

Un peu dans l'esprit de votre dessin.

Oral d'examen. Petite élève infirmière malade de trac.
"Mademoiselle pouvez-vous me dire ce qui dans le corps humain peut se dilater jusqu'à 18 fois sa taille initiale?"
la demoiselle rougit, bafouille, s'étrangle...
"Non, mademoiselle ce n'est pas ce à quoi vous pensez. Il s'agit de la pupille.
Mais dites moi, mademoiselle, vous êtes fiancée?
Eh bien vous allez au-devant de graves désillusions!"

Lavande

Anonyme a dit…

C'est une de mes préférées également :o))
Sinon :
Que se passe-t-il si on envoie un économiste du FMI dans le désert du Sahara ?
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dix ans après il importe du sable.

Anonyme a dit…

Rires !!!

Celle-ci :

êtes-vous sensible au comique de répétition ?
êtes-vous sensible au comique de répétition ?
êtes-vous sensible au comique de répétition ?
êtes-vous sensible au comique de répétition ?
êtes-vous sensible au comique de répétition ?
êtes-vous sensible au comique de répétition ?