Et moi, pourquoi persiste-je à diffuser billets doux ou acides vers vous dont je ne sais rien ou si peu (à quelques exceptions exceptionnelles près) si ce n'est vos propres mots et images visités dès que j'ai un peu de temps, voire au détriment d'autres tâches que je néglige de ce fait. Cette activité est absolument gratuite, et ce n'est pas si courant de pouvoir s'adonner à quelque chose qui ne nous est pas imposée et ne relève que du plaisir désintéressé. Bien-sûr il y a une certaine attente, on espère amorcer des bribes de dialogue, le plus souvent réduites à une parcelle phatique (ça c'est pour faire ma minute encyclopédique).
Par ailleurs, bloguer c'est garder une trace. Lorsque je reviens en arrière, souvent à la recherche d'un article que je me souviens avoir écrit, il n'est pas rare que je me surprenne à (re)découvrir avec plaisir un texte ou une illustration. Ainsi aujourd'hui en allant vérifier de quelle façon j'avais soufflé la première bougie en 2009, ce morceau sur la fessée qui avait recueilli un record de commentaires (83 soit beaucoup pour mon modeste blog, on n'est pas sur la RDL).
Enfin le blog c'est le plaisir du mélange images /sons / mots, actualité / souvenirs, prose / poésie, gravité / humour tout ça au fil des jours et de l'humeur.
Alors bon , je rempile.
Photo ZL, Lumière au jardin, juillet 2012
18 commentaires:
Tiens, on a le même âge. Joyeux anniversaire ! (C'est là que je m'aperçois que j'ai laissé passer celui de mes hublots).
@PhA, Hé hé, vous étiez en train de commenter sous l'arbre pendant que je lisais (découvrais!!!)votre biographie derrière les hublots.J'ai failli laisser échapper l'anniversaire moi aussi.
Joooyeux annive, baobab !
:0)
Un arbre de vie ne peut mourir!
Laisser une trace, l'espoir secret de chacun qui sait trop bien que son petit monde prendra fin .
Bon anni, le présent est cadeau,j'aime vous lire, surprise du matin qui me rajeunit.
La suite!
Bravo, Zoë, et bonne continuation : vous expliquez très bien le plaisir des blogs - lire, écrire, regarder, montrer, commenter, partager, sourire...
Vous rempilez, chouette ! Merci pour votre lumineux jardin.
Pas forcément bavarde (gros déficit de commentaires de ma part), vous me manqueriez toutefois. Merci de poursuivre, je vous lis avec intérêt. Poursuivez svp. Remarquez que je ne "phatique" pas :-)
@Eric :-)
@PV puissiez-vous dire vrai.
@ruines, surprise / bonheur de votre présence pour ce minuscule évènement.
@Tania, fidèle d'entre les fidèles, merci.
@Frédérique, pas d'emphase entre nous, une réciproque estime.
Si c'est pour faire la fête pendant quatre années encore, yévoussuis.
http://www.youtube.com/watch?v=5jw9joHdLgo&feature=related
Un journal de bord, abordé par d'autres?
Tout ça pour qu'on se mettent à genoux et vous supplient...
Allez, rempilez, rengagez-vous, rem-rengagez-vous, vous verrez du pays !
Contrairement à vous, lorsque je reviens en arrière, à la recherche d'un article que je me souviens avoir écrit, il est très rare que je ne le déteste pas.
P.S. : existe-il un moyen technique, sur votre blog, d'être averti des réponses à nos commentaires ?
"Existe-il" ou "existe-t-il" ?
Je penche pour le second.
@MMWH, ah! Merci, ce chien a du chien.
@la bacchante, c'est cela, mille sabords.
@Depluloin, j'adôôôre vous voir à mes genoux.
@Sergeant Pepper, ça m'arrive aussi, non pas de détester mais de les trouver insignifiants.
Je ne crois pas que blogger offre cette possibilité, désolée. Mais il est très très rare que je ne réponde pas. Il suffit de passer un peu plus tard :-)
Chouette. :)
Je rempile avec joie chez toi et ailleurs.
Ça a un côté "familial", les liens de blog à blog. Dans le sens "famille de pensée", et même si on n'est pas toujours d'accord les uns avec les autres, on est content de se retrouver régulièrement.
@Sofka, tu m'aurais manqué en ce jour solennel (mouahahah!). Famille de pensée, attractivité mystérieuse.
garder une trace, oui, beaucoup plus que sur fesse-bouc qui est si éphémère !
et nouer des relations, oui, qui sont de vraies relations, même si elles restent virtuelles.
@Mâme K,je ne t'avais pas vu hu hu! Toi aussi tu fais partie de mon petit gang
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