
Au cas où vous ne l'auriez pas noté (comment? vous ne regardez pas de près mes états de service ?) je suis beaucoup moins présente dans la blogosphère que je ne le fus au début de mon incursion sur la toile. Pas le temps, mangée par une foultitude d'autres agitations qui me requièrent. Pas la tête à élaborer de la belle syntaxe et de la pensée profonde ou légère.
Cependant j'ai glané quelques petits cailloux ronds et brillants. je les dépose ici, faites-en ce que vous voudrez.
Ecritures du monde : le Niger, une vision toute en délicatesse de ce pays où vient de se produire un de ces épisodes absurdes de la vie des hommes.
Edward S. Curtis, nous a laissé un héritage somptueux, ces photos des Peuples premiers d'Amérique, comme ils se nomment eux-mêmes, "Natives"d'un continent d'où ils ont été quasi éradiqués. Quelle beauté, quelle fierté! Quelle nostalgie d'une sagesse saccagée! Toutes ces photos sont d'une pureté miraculeuse.
Pour résister à la déréliction dans laquelle nous plonge les délires de nos gouvernants (je préfère passer sous silence celui de MAM), on s'organise. Ça vient, ça vient!
On peut aussi se livrer à une transposition drôle
Pour s'alléger le coeur et le corps mieux vaut danser le Tango ou encore écouter les exploits de l'ami Manu Causse ou encore d'une petite nouvelle qui promet "Anna Calvi la crème anglaise".
Bientôt (enfin pas tout de suite) je serais rendue à des rythmes plus propices à ..., à quoi au juste ?
Illustration