au cours de sa promenade autour de chez moi
Téoùlà, c'était un nom d'entreprise que Marc Jolivet (un humoriste toujours vivant et n'ayant fait l'objet d'aucune excommunication, alors qu'il n'est pas tendre avec l'engeance prétentieuse des "élus" du peuple) avait inventé lors de l'explosion du portable.
Je suis partout sauf sur ce blog, même si je le garde en fond d'écran glissé derrière une multitude d'autres "espaces existentiels", au nombre desquels le pied du cerisier, du moins le haut de l'escabeau campé sous son ramage, histoire de l'alléger de ses délicieuses et charnues et rouge sombre cerises avant de les réduire en une confiture qui fera mon bonheur cet hiver.
Et bien d'autres lieux dont je ne dirai rien, parce que je m'apprête à partir tôt demain vers la jolie cité de Carcassonne où je suis attendue pour des parlotes orientées.
Après Carcassonne, je suis -en principe- rendue à une vie plus calme et plus propice au vagabondage verbal (sinon verbeux) sur la Toile.
En attendant, une petite livraison d'images.