Eux, c'est tous les jours, pour quelques pièces que les passants déposent, surpris par ce couple qui joue sans pause, un air lancinant comme la misère. Ne dirait-on pas les époux Ceausescu, réduits à l'exil et remachant sur leur crincrin leur faste envolé ?
Photo ZL, Paris, Beaubourg, lundi 20 juin 2011.