160 - Le départ - Departure.
En allant rendre visite à Depluloin en cette époque de Toussaint, j'ai trouvé un lien, déposé par une de ses fidèles, qui m'a conduite vers une mine de merveilles, le site de Gilbert Garcin, Artiste Photographe dont j'extraie cette pépite. L'esprit de Pluplu doit s'en régaler. Prenez la peine ou plutôt le plaisir de rendre visite à l'Artiste.
A propos de départ, Lou est parti faire un tour dans les contrées sauvages et inconnues.
A propos de départ, Lou est parti faire un tour dans les contrées sauvages et inconnues.
Bonjour Zoë,
RépondreSupprimerJ'ai cliqué sur quelques liens et vu, effectivement, quelques photos remarquables.
Une critique toutefois : M. Garcin devrait proposer une mosaïque. Cela favoriserait grandement la navigation.
@Sergeant Pepper, M. Garcin me semble d'une époque ante mosaïque webienne :-)
RépondreSupprimerTout juste peut-on lui reprocher la petite taille des photos.
RépondreSupprimerMerci à toi Zoé et @la dame pour avoir, dans les méandres du web, trouvé le fil de G. Garcin. Il m'avait littéralement "ravie" il y a quelques années maintenant. Je l'avais perdu, recherché en vain (j'avais oublié son nom).
RépondreSupprimerMerci à vous Zoë d'avoir pensé à Pluche d'avoir su épouser son auto dérision. Il aimait trop les bières, n'avait plus espoir de pouvoir arquer , de vivre selon la pompe qui était sienne, morbide mais pas funèbre. Il résolut de se faire mettre en bière dans une ultime et atroce pirouette. Ses billets fléchaient cette fin. Il traquait l'absurde, se prenait , souvent pour cible. S'il voit votre billet, il doit rire en dégustant une "mort subite" sans faux col....
RépondreSupprimerMerci pour cette très belle photo sur le fil.
RépondreSupprimerEn ce temps, et pas seulement de Toussaint, je pense en lisant votre billet au Chemin des Morts de François Sureau, un petit livre qui se lit en un rien de temps et absolument essentiel.Une histoire d'homme.
@Daniel D. quelques chose à reprocher quand même mmmh!
RépondreSupprimer@Frédérique, tant mieux si cela te permet de retrouver trace et me permet de te retrouver sous l'arbre.
@PV,nous l'aimions bien...ce fou.
@Angelun Bizi, je ne connais pas ce livre. Merci pour la source.
Le temps de faire le plein de confettis pour ma montgolfière, et surtout, surtout saluer la mémoire
RépondreSupprimerde Depluloin.
Cette photo, plutôt son titre me rappelle, et dans les circonstances, un des films japonais parmi les plus touchant.
"Departures" de Yōjirō Takita. Suis certain qu'il aurait aimé.
Un "vieux" photographe qui exploite à merveille le photomontage. Ce n'est pas une technique d'aujourd'hui !
RépondreSupprimerMerci de le mettre en avant.
J'ai eu constamment un sourire sur les lèvres en regardant les photos de cet Homme qui avait vraiment le sens de l'humour et qui devait rire de lui même.
RépondreSupprimerMerci pour ce lien.
H.Z
La perspective d'un voyage au Portugal pour une rétrospective, motive.
RépondreSupprimer"Ce fou" ....La folie et le rire (et encore pas trop fort) sont , peut être, les seules évasions d'un monde fou, fou, où la sorcière Folie pas douce du tout, enserre nos libertés dans un réseau de fils de fer barbelés pour faire marcher au pas une armée docile de psycho-troupes.
RépondreSupprimerLa fille au gars, tellement d’extrême droite qu'il a l’œil gauche crevé a repris le business familial sans , dans son ignorance, rien savoir du syndrome de Stockholm, pourtant pour tenir de pauvres gens en otage , elle est experte!!! C'est fou, non?
@MakesmewonderHum,êtes vous parti pour cinq semaines en ballon? Departures, je note.
RépondreSupprimer@Christw, vieille technique pour des effets toujours neufs.
@HZ, entre humour et gravité, une belle qualité.
@D.A, en attendant Marseille plus accessible.
@PV, la fille au gars, elle nous prendra en otage à vie.
Après tout, s'il n'y a rien, peut-être qu'après rien il y a tout ?
RépondreSupprimer@D.A, rien de ce que nous connaissons, tout ce que nous ignorons.
RépondreSupprimerMerci pour ce lien!
RépondreSupprimer@la bacchante, you're welcome.
RépondreSupprimerLou, oui, on y pense encore...
RépondreSupprimerSur la corde tendue de l' arc, où va t-il finir notre bonhomme?
RépondreSupprimerS'envoyer soi-même en l' air, un art existentiel postal!
Bien à vous.
@DH, il a marqué fortement une époque de la musique.
RépondreSupprimer@Versus,une métaphore de l'envol mais vers quoi ?
C'est drôle, l'ami Luc avait lui aussi rapproché Pluplu de Garcin sur son blog !
RépondreSupprimerhttp://www.luclamy.net/blog/?p=10946
Vous avez eu le même cheminement ! :)
@Sofka, Tiens, ça m'avait échappé, mais je ne vais plus beaucoup sur les blogs. En revanche, je n'ai pas perçu la relation que L...c aurait faite avec Pluplu, du moins dans ce billet..
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