jeudi 30 avril 2015

London at a glance

 Boire un café au bord de la Tamise dans le "Swan at the Globe" le bar associé au Shakespeare Globe dont les couloirs sont tapissés de magnifiques photographies de scènes de ce théâtre mythique. (On distingue le reflet de ZL)



Dans les parcs beaucoup d'écureuils  qui dégustent les graines qu'on leur donne pour le plus grand plaisir des petits et des grands.

 Gandhi, un peu sombre, mais toutes ces photos sont prises avec mon mobile... lors de mes déplacements dont la plupart étaient hâtifs.




J'ai traqué les traces du Bloomsbury Group. Il y a aussi une plaque pour ce cher Keynes.
 


 Pour finir cette courte promenade dans la ville d'où sont exclues les voitures qui ne peuvent payer un octroi (ce qui est très flagrant en comparaison de Paris encombré), une ville très étendue mais dont les transports en commun fonctionnent bien (mais sont chers!), pour conclure donc,  un zeste d'humour anglais. On trouve des vignettes de conseil, d'alerte, un peu partout (et des caméras aussi). Ci-dessous un choix de celles qui m'ont fait sourire




  Un conseil pour finir donc : Dont grow up, it'a trap. Ne grandissez pas, c'est un piège!

Photos ZL, Londres avril 2015

4 commentaires:

patrick.verroust a dit…

Photos sombres...normal, même la lumière est tamisée...

Tania a dit…

Sur les traces de Bloomsbury... Peut-être cet article en espagnol envoyé par une amie vous intéressera :
http://elviajero.elpais.com/elviajero/2015/04/30/actualidad/1430393420_095459.html
Merci pour l'humeur anglaise.

Zoë Lucider a dit…

"Il est amusant de voir cet hommage à Keynes dans la capitale du libéralisme à tout crin...
Un centre-ville forteresse, bientôt auquel il faudra accéder, même pour les piétons, en payant : ce serait logique, et il suffirait d'installer un pont-levis pour filtrer les gueux indésirables dans la "City". Dominique Hasselmann (transmis par ZL pour déjouer les robots raboteurs

Zoë Lucider a dit…

@PV, sombres dehors claires dedans.
@ Tania, merci, mon espagnol trop faible ne me permet pas d'apprécier à sa juste valeur un article aussi fouillé.
@DH, cher Dominique, Orwell hélas avait tout compris